— La pratique erronée — Que l'on soit ou non un mendiant, le plus important est la manière dont on pratique. |
Pāḷi“dvinnāhaṃ, bhikkhave, micchāpaṭipattiṃ na vaṇṇemi, gihissa vā pabbajitassa vā. gihī vā, bhikkhave, pabbajito vā micchāpaṭipanno micchāpaṭipattādhikaraṇahetu na ārādhako hoti ñāyaṃ dhammaṃ kusalaṃ. |
FrançaisMendiants, je ne fais l'éloge d'aucune de ces deux pratiques erronées: celle de l'homme de foyer et celle du sans-foyer. Celui qui pratique de manière erronée, qu'il vive au foyer ou qu'il ait quitté le foyer, à cause de sa pratique erronée, n'atteint pas l'accomplissement dans la méthode, dans l'enseignement avantageux. |
“dvinnāhaṃ, bhikkhave, sammāpaṭipattiṃ vaṇṇemi, gihissa vā pabbajitassa vā. gihī vā, bhikkhave, pabbajito vā sammāpaṭipanno sammāpaṭipattādhikaraṇahetu ārādhako hoti ñāyaṃ dhammaṃ kusalan”ti. | Mendiants, je fais l'éloge de ces deux pratiques correctes: celle de l'homme de foyer et celle du sans-foyer. Celui qui pratique de manière correcte, qu'il vive au foyer ou qu'il ait quitté le foyer, grâce à sa pratique correcte, atteint l'accomplissement dans la méthode, dans l'enseignement avantageux. |
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