— Appris d'oreille — Voici les avantages qu'il y a dans une vie future à apprendre maintenant les enseignements par cœur. |
Pāḷi“sotānudhatānaṃ,{n} bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ, diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ cattāro ānisaṃsā pāṭikaṅkhā. katame cattāro? |
FrançaisMendiants, lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues, quatre bienfaits peuvent être attendus. Quels sont ces quatre? |
idha, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha sukhino dhammapadāpilapanti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. sotānudhatānaṃ, bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ, diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ ayaṃ paṭhamo ānisaṃso pāṭikaṅkho. | À cet égard, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses.{n} Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux lui récitent des passages de l'Enseignement. L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. Voici, Mendiants, le premier bienfait qui peut être attendu lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues. |
“puna caparaṃ, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadāpilapanti; api ca kho bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti. tassa evaṃ hoti: ‘ayaṃ vā so dhammavinayo, yatthāhaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarin’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippameva visesagāmī hoti. | Ou bien, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses.{n} Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement. Mais un mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit professe le Dhamma à une assemblée de dévas. Il se dit: “C'est l'Enseignement & Discipline dans lesquels je vivais auparavant la vie brahmique!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. |
seyyathāpi, bhikkhave, puriso kusalo bherisaddassa. so addhānamaggappaṭipanno bherisaddaṃ suṇeyya. tassa na heva kho assa kaṅkhā vā vimati vā: ‘bherisaddo nu kho, na nu kho bherisaddo’ti! atha kho bherisaddotveva niṭṭhaṃ gaccheyya. | Imaginez, Mendiants, un individu connaisseur en matière de son des percussions. Tandis qu'il serait en chemin sur une longue route, il entendrait le son d'une percussion. Il n'aurait aucun doute ni aucune hésitation: “C'est le son d'une percussion!” Et il en conclurait qu'il s'agit du son d'une percussion. |
evamevaṃ kho, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadā plavanti; api ca kho bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti. tassa evaṃ hoti: ‘ayaṃ vā so dhammavinayo, yatthāhaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarin’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. sotānudhatānaṃ, bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ, diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ ayaṃ dutiyo ānisaṃso pāṭikaṅkho. | De la même manière, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses. Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement, mais un mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit professe le Dhamma à l'assemblée des dévas. Il se dit: “C'est l'Enseignement & Discipline dans lesquels je vivais auparavant la vie brahmique!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. Voici, Mendiants, le deuxième bienfait qui peut être attendu lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues. |
“puna caparaṃ, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadā plavanti, napi bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti; api ca kho devaputto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti. tassa evaṃ hoti: ‘ayaṃ vā so dhammavinayo, yatthāhaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarin’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. | Ou bien, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses. Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement, et aucun mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, mais c'est un enfant de dévas qui professe le Dhamma à l'assemblée des dévas. Il se dit: “C'est l'Enseignement & Discipline dans lesquels je vivais auparavant la vie brahmique!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. |
seyyathāpi, bhikkhave, puriso kusalo saṅkhasaddassa. so addhānamaggappaṭipanno saṅkhasaddaṃ suṇeyya. tassa na heva kho assa kaṅkhā vā vimati vā: ‘saṅkhasaddo nu kho, na nu kho saṅkhasaddo’ti! atha kho saṅkhasaddotveva niṭṭhaṃ gaccheyya. | Imaginez, Mendiants, un individu qui connaisseur en matière de son des conques. Tandis qu'il serait en chemin sur une longue route, il entendrait le son d'une conque. Il n'aurait aucun doute ni aucune hésitation: “C'est le son d'une conque!” Et il en conclurait qu'il s'agit du son d'une conque. |
evamevaṃ kho, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadā plavanti, napi bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti; api ca kho devaputto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti. tassa evaṃ hoti: ‘ayaṃ vā so dhammavinayo, yatthāhaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarin’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. sotānudhatānaṃ, bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ, diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ ayaṃ tatiyo ānisaṃso pāṭikaṅkho. | De la même manière, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses. Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement, et aucun mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, mais c'est un enfant de dévas qui professe le Dhamma à l'assemblée des dévas. Il se dit: “C'est l'Enseignement & Discipline dans lesquels je vivais auparavant la vie brahmique!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. Voici, Mendiants, le troisième bienfait qui peut être attendu lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues. |
“puna caparaṃ, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadā plavanti, napi bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti, napi devaputto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti; api ca kho opapātiko opapātikaṃ sāreti: ‘sarasi tvaṃ, mārisa, sarasi tvaṃ, mārisa, yattha mayaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarimhā’ti. so evamāha: ‘sarāmi, mārisa, sarāmi, mārisā’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. | Ou bien, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses. Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement, aucun mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, et aucun enfant de dévas ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, mais un être qui a une naissance spontanée rappelle à un [autre] être qui a une naissance spontanée: “Te souviens-tu, mon cher, te souviens-tu de là où nous avons auparavant vécu la vie brahmique?” Il répond: “Je me souviens, mon cher, je me souviens!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. |
seyyathāpi, bhikkhave, dve sahāyakā sahapaṃsukīḷikā. te kadāci karahaci aññamaññaṃ samāgaccheyyuṃ. añño pana sahāyako sahāyakaṃ evaṃ vadeyya: ‘idampi, samma, sarasi, idampi, samma, sarasī’ti. so evaṃ vadeyya: ‘sarāmi, samma, sarāmi, sammā’ti. | Imaginez, Mendiants, deux amis qui s'étaient amusés à jouer dans la boue. Par chance, ils se rencontreraient de nouveaux plus tard dans la vie et l'un des amis dirait à l'autre: “Te souviens-tu de ça, ami, te souviens-tu de ça?” L'autre répondrait: “Je me souviens, ami, je me souviens!” |
evamevaṃ kho, bhikkhave, bhikkhu dhammaṃ pariyāpuṇāti: suttaṃ, geyyaṃ, veyyākaraṇaṃ, gāthaṃ, udānaṃ, itivuttakaṃ, jātakaṃ, abbhutadhammaṃ, vedallaṃ. tassa te dhammā sotānudhatā honti, vacasā paricitā, manasānupekkhitā, diṭṭhiyā suppaṭividdhā. so muṭṭhassati kālaṃ kurumāno aññataraṃ devanikāyaṃ upapajjati. tassa tattha na heva kho sukhino dhammapadā plavanti, napi bhikkhu iddhimā cetovasippatto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti, napi devaputto devaparisāyaṃ dhammaṃ deseti; api ca kho opapātiko opapātikaṃ sāreti: ‘sarasi tvaṃ, mārisa, sarasi tvaṃ, mārisa, yattha mayaṃ pubbe brahmacariyaṃ acarimhā’ti. so evamāha: ‘sarāmi, mārisa, sarāmi, mārisā’ti. dandho, bhikkhave, satuppādo; atha kho so satto khippaṃyeva visesagāmī hoti. sotānudhatānaṃ, bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ, diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ ayaṃ catuttho ānisaṃso pāṭikaṅkho. | De la même manière, un mendiant connaît l'Enseignement par cœur: les souttas, les mélanges de prose et de versets, les explications, les versets, les exclamations, les “ainsi a-t-il été dit”, les histoires de naissances antérieures, les histoires édifiantes et les questions-réponses. Il a appris ces enseignements d'oreille, les a récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans ses vues. Il meurt étourdi d'esprit et réapparaît dans une certaine classe de dévas. Là, ceux qui sont heureux ne lui récitent pas de passages de l'Enseignement, aucun mendiant doté de pouvoirs psychiques qui maîtrise bien son esprit ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, et aucun enfant de dévas ne professe le Dhamma à l'assemblée des dévas, mais un être qui a une naissance spontanée rappelle à un [autre] être qui a une naissance spontanée: “Te souviens-tu, mon cher, te souviens-tu de là où nous avons auparavant vécu la vie brahmique?” Il répond: “Je me souviens, mon cher, je me souviens!” L'apparition de sa mémoire est lente, mais cet être atteint ensuite la distinction rapidement. Voici, Mendiants, le quatrième bienfait qui peut être attendu lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues. |
sotānudhatānaṃ, bhikkhave, dhammānaṃ, vacasā paricitānaṃ, manasānupekkhitānaṃ diṭṭhiyā suppaṭividdhānaṃ ime cattāro ānisaṃsā pāṭikaṅkhā”ti. | Mendiants, lorsque les enseignements ont été appris d'oreille, récités oralement, examinés mentalement et bien intégrés dans les vues, ces quatre bienfaits peuvent être attendus. |
———oOo——— Publié comme un don du Dhamma, pour être distribué librement, à des fins non lucratives. --- Le traducteur n'est pas un expert en Pali, et afin d'éviter toute erreur se réfère à des traductions déjà existantes; il espère néanmoins que les erreurs qui peuvent se glisser dans la traduction ne sont que minimes. Ce travail est sous une License Internationale Creative Commons 4.0 avec Attribution, Usage non-commercial et Partage sous mêmes conditions. |