— Au Lac divin — Un groupe de mendiants s'apprête à partir dans des contrées où l'enseignement du Bouddha est moins connu. Avant de partir, le Bouddha les encourage à consulter Saripoutta, qui leur donne des conseils pour répondre aux questions qui leur seront posées. |
Pāḷievaṃ me sutaṃ — |
FrançaisAinsi ai-je entendu: |
ekaṃ samayaṃ bhagavā sakkesu viharati devadahaṃ nāma sakyānaṃ nigamo. atha kho sambahulā pacchābhūmagamikā bhikkhū yena bhagavā tenupasaṅkamiṃsu; upasaṅkamitvā bhagavantaṃ abhivādetvā ekamantaṃ nisīdiṃsu. ekamantaṃ nisinnā kho te bhikkhū bhagavantaṃ etadavocuṃ — | Un jour, le Fortuné séjournait parmi les Sakyans près d'un village des Sakyans appelé le Lac divin. Ce jour-là, un grand nombre de mendiants en partance pour les contrées orientales vinrent voir le Fortuné, lui rendirent hommage, s'assirent d'un côté et lui dirent: |
“icchāma mayaṃ, bhante, pacchābhūmaṃ janapadaṃ gantuṃ, pacchābhūme janapade nivāsaṃ kappetun”ti. | «Bhanté, nous souhaitons nous rendre dans le pays situé dans les contrées orientales, afin d'y prendre résidence. |
“apalokito pana vo, bhikkhave, sāriputto”ti? | — Mendiants, avez-vous consulté Saripoutta? |
“na kho no, bhante, apalokito āyasmā sāriputto”ti. | — Non, Bhanté, nous n'avons pas consulté le vénérable Saripoutta. |
“apaloketha, bhikkhave, sāriputtaṃ. sāriputto, bhikkhave, paṇḍito, bhikkhūnaṃ anuggāhako sabrahmacārīnan”ti. | — Consultez donc Saripoutta, mendiants. Saripoutta est sage, il porte assistance aux mendiants qui sont ses compagnons dans la vie brahmique. |
“evaṃ bhante”ti kho te bhikkhū bhagavato paccassosuṃ. | |
tena kho pana samayena āyasmā sāriputto bhagavato avidūre aññatarasmiṃ eḷagalāgumbe nisinno hoti. atha kho te bhikkhū bhagavato bhāsitaṃ abhinanditvā anumoditvā uṭṭhāyāsanā bhagavantaṃ abhivādetvā padakkhiṇaṃ katvā yenāyasmā sāriputto tenupasaṅkamiṃsu; upasaṅkamitvā āyasmatā sāriputtena saddhiṃ sammodiṃsu. sammodanīyaṃ kathaṃ sāraṇīyaṃ vītisāretvā ekamantaṃ nisīdiṃsu. ekamantaṃ nisinnā kho te bhikkhū āyasmantaṃ sāriputtaṃ etadavocuṃ — | À ce moment-là, le vénérable Saripoutta était assis non loin du Fortuné, à l'ombre d'un séné de Java. Alors ces mendiants, ayant approuvé les paroles du Fortuné, le saluèrent, puis s'étant levés de leur siège et ayant rendu hommage au Fortuné en le tenant sur leur droite, allèrent voir le vénérable Saripoutta, échangèrent avec lui des courtoisies et des salutations amicales, s'assirent d'un côté et lui dirent: |
“icchāma mayaṃ, āvuso sāriputta, pacchābhūmaṃ janapadaṃ gantuṃ, pacchābhūme janapade nivāsaṃ kappetuṃ. apalokito no satthā”ti. | «Ami Saripoutta, nous souhaitons nous rendre dans le pays situé dans les contrées orientales, afin d'y prendre résidence. Nous avons consulté l'Enseignant. |
“santi hāvuso, nānāverajjagataṃ bhikkhuṃ pañhaṃ pucchitāro — khattiyapaṇḍitāpi brāhmaṇapaṇḍitāpi gahapatipaṇḍitāpi samaṇapaṇḍitāpi. paṇḍitā hāvuso, manussā vīmaṃsakā — ‘kiṃvādī panāyasmantānaṃ satthā kimakkhāyīti, kacci vo āyasmantānaṃ dhammā sussutā suggahitā sumanasikatā sūpadhāritā suppaṭividdhā paññāya, yathā byākaramānā āyasmanto vuttavādino ceva bhagavato assatha, na ca bhagavantaṃ abhūtena abbhācikkheyyātha, dhammassa cānudhammaṃ byākareyyātha, na ca koci sahadhammiko vādānuvādo gārayhaṃ ṭhānaṃ āgaccheyyā’”ti? | — Mes amis, il y a de sages aristocrates, de sages brahmanes, de sages maîtres de maison, de sages renonçants qui posent des questions à un mendiant qui se rend dans les diverses provinces, car les sages sont curieux: “Que dit l'enseignant des vénérables, que prône-t-il?” Est-ce qu'il y a des enseignements que vous, vénérables, avez bien appris, bien saisis, bien considérés, bien mémorisés et bien intégrés avec discernement, de telle manière que lorsque vous répondrez, vous répéterez ce qui a été dit par le Fortuné en évitant de le représenter faussement avec ce qui est incorrect, que vous répondrez en accord avec l'Enseignement, que vous parlerez en toute vérité, sans être sujets à un légitime reproche? |
“dūratopi kho mayaṃ, āvuso, āgaccheyyāma āyasmato sāriputtassa santike etassa bhāsitassa atthamaññātuṃ. sādhu vatāyasmantaṃyeva sāriputtaṃ paṭibhātu etassa bhāsitassa attho”ti. | — Ami, nous viendrions de loin auprès du vénérable Saripoutta pour connaître le sens de cette affirmation. Il serait bon que le vénérable Saripoutta explique le sens de cette affirmation. |
“tena hāvuso, suṇātha, sādhukaṃ manasi karotha; bhāsissāmī”ti. | — Alors écoutez cela, mes amis, et faites bien attention, je vais parler. |
“evamāvuso”ti kho te bhikkhū āyasmato sāriputtassa paccassosuṃ. āyasmā sāriputto etadavoca — | — Bien, ami,» répondirent ces mendiants au vénérable Saripoutta. Celui-ci dit alors: |
“santi hāvuso, nānāverajjagataṃ bhikkhuṃ pañhaṃ pucchitāro — khattiyapaṇḍitāpi ... pe ... samaṇapaṇḍitāpi. paṇḍitā hāvuso, manussā vīmaṃsakā — ‘kiṃvādī panāyasmantānaṃ satthā kimakkhāyī’ti? evaṃ puṭṭhā tumhe, āvuso, evaṃ byākareyyātha — ‘chandarāgavinayakkhāyī kho no, āvuso, satthā’”ti. | Mes amis, il y a de sages aristocrates, de sages brahmanes, de sages maîtres de maison, de sages renonçants qui posent une question à un mendiant qui se rend dans les diverses provinces, car les sages sont curieux: “Que dit l'enseignant des vénérables, que prône-t-il?” Si on vous demande cela, mes amis, vous devriez répondre ainsi: “Notre enseignant prône l'élimination du désir avide.” |
“evaṃ byākatepi kho, āvuso, assuyeva uttariṃ pañhaṃ pucchitāro — khattiyapaṇḍitāpi ... pe ... samaṇapaṇḍitāpi. paṇḍitā hāvuso, manussā vīmaṃsakā — ‘kismiṃ panāyasmantānaṃ chandarāgavinayakkhāyī satthā’ti? evaṃ puṭṭhā tumhe, āvuso, evaṃ byākareyyātha — ‘rūpe kho, āvuso, chandarāgavinayakkhāyī satthā, vedanāya... saññāya... saṅkhāresu... viññāṇe chandarāgavinayakkhāyī satthā’”ti. | Après avoir répondu ainsi, mes amis, il est possible qu'il y ait de sages aristocrates, de sages brahmanes, de sages maîtres de maison, de sages renonçants qui posent une question, car les sages sont curieux: “Envers quoi porte le désir avide dont l'enseignant des vénérables prône l'élimination?” Si on vous demande cela, mes amis, vous devriez répondre ainsi: “Notre enseignant prône l'élimination du désir avide envers la Forme, il prône l'élimination du désir avide envers le Ressenti, il prône l'élimination du désir avide envers la Perception, il prône l'élimination du désir avide envers les Constructions, il prône l'élimination du désir avide envers la Conscience.” |
“evaṃ byākatepi kho, āvuso, assuyeva uttariṃ pañhaṃ pucchitāro — khattiyapaṇḍitāpi ... pe ... samaṇapaṇḍitāpi. paṇḍitā hāvuso, manussā vīmaṃsakā — ‘kiṃ panāyasmantānaṃ ādīnavaṃ disvā rūpe chandarāgavinayakkhāyī satthā, vedanāya... saññāya... saṅkhāresu... viññāṇe chandarāgavinayakkhāyī satthā’ti? evaṃ puṭṭhā tumhe, āvuso, evaṃ byākareyyātha — ‘rūpe kho, āvuso, avigatarāgassa avigatachandassa avigatapemassa avigatapipāsassa avigatapariḷāhassa avigatataṇhassa tassa rūpassa vipariṇāmaññathābhāvā uppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. vedanāya... saññāya... saṅkhāresu avigatarāgassa ... pe ... avigatataṇhassa tesaṃ saṅkhārānaṃ vipariṇāmaññathābhāvā uppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. viññāṇe avigatarāgassa avigatachandassa avigatapemassa avigatapipāsassa avigatapariḷāhassa avigatataṇhassa tassa viññāṇassa vipariṇāmaññathābhāvā uppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. idaṃ kho no, āvuso, ādīnavaṃ disvā rūpe chandarāgavinayakkhāyī satthā, vedanāya... saññāya... saṅkhāresu... viññāṇe chandarāgavinayakkhāyī satthā’”ti. | Après avoir répondu ainsi, mes amis, il est possible qu'il y ait de sages aristocrates, de sages brahmanes, de sages maîtres de maison, de sages renonçants qui posent une question, car les sages sont curieux: “En voyant quel désavantage est-ce que votre enseignant prône l'élimination du désir avide envers la Forme, prône l'élimination du désir avide envers le Ressenti, prône l'élimination du désir avide envers la Perception, prône l'élimination du désir avide envers les Constructions, et prône l'élimination du désir avide envers la Conscience?” Si on vous demande cela, mes amis, vous devriez répondre ainsi: “Lorsque l'on n'est pas dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Forme, et que cette Forme change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse apparaissent. Lorsque l'on n'est pas dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers le Ressenti, et que ce Ressenti change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse apparaissent. Lorsque l'on n'est pas dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Perception, et que cette Perception change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse apparaissent. Lorsque l'on n'est pas dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers les Constructions, et que ces Constructions changent, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse apparaissent. Lorsque l'on n'est pas dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Conscience, et que cette Conscience change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse apparaissent. Voici donc le désavantage que notre enseignant a vu et à cause duquel il prône l'élimination du désir avide envers la Forme, prône l'élimination du désir avide envers le Ressenti, prône l'élimination du désir avide envers la Perception, prône l'élimination du désir avide envers les Constructions, et prône l'élimination du désir avide envers la Conscience.” |
“evaṃ byākatepi kho, āvuso, assuyeva uttariṃ pañhaṃ pucchitāro — khattiyapaṇḍitāpi brāhmaṇapaṇḍitāpi gahapatipaṇḍitāpi samaṇapaṇḍitāpi. paṇḍitā hāvuso, manussā vīmaṃsakā — ‘kiṃ panāyasmantānaṃ ānisaṃsaṃ disvā rūpe chandarāgavinayakkhāyī satthā, vedanāya... saññāya... saṅkhāresu... viññāṇe chandarāgavinayakkhāyī satthā’ti? evaṃ puṭṭhā tumhe, āvuso, evaṃ byākareyyātha — ‘rūpe kho, āvuso, vigatarāgassa vigatachandassa vigatapemassa vigatapipāsassa vigatapariḷāhassa vigatataṇhassa tassa rūpassa vipariṇāmaññathābhāvā nuppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. vedanāya... saññāya... saṅkhāresu vigatarāgassa vigatachandassa vigatapemassa vigatapipāsassa vigatapariḷāhassa vigatataṇhassa tesaṃ saṅkhārānaṃ vipariṇāmaññathābhāvā nuppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. viññāṇe vigatarāgassa vigatachandassa vigatapemassa vigatapipāsassa vigatapariḷāhassa vigatataṇhassa tassa viññāṇassa vipariṇāmaññathābhāvā nuppajjanti sokaparidevadukkhadomanassupāyāsā. idaṃ kho no, āvuso, ānisaṃsaṃ disvā rūpe chandarāgavinayakkhāyī satthā, vedanāya... saññāya... saṅkhāresu... viññāṇe chandarāgavinayakkhāyī satthā’”ti. | Après avoir répondu ainsi, mes amis, il est possible qu'il y ait de sages aristocrates, de sages brahmanes, de sages maîtres de maison, de sages renonçants qui posent une question, car les sages sont curieux: “En voyant quel bienfait est-ce que votre enseignant prône l'élimination du désir avide envers la Forme, prône l'élimination du désir avide envers le Ressenti, prône l'élimination du désir avide envers la Perception, prône l'élimination du désir avide envers les Constructions, et prône l'élimination du désir avide envers la Conscience?” Si on vous demande cela, mes amis, vous devriez répondre ainsi: “Lorsque l'on est dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Forme, et que cette Forme change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse n'apparaissent pas. Lorsque l'on est dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers le Ressenti, et que ce Ressenti change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse n'apparaissent pas. Lorsque l'on est dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Perception, et que cette Perception change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse n'apparaissent pas. Lorsque l'on est dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers les Constructions, et que ces Constructions changent, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse n'apparaissent pas. Lorsque l'on est dénué d'avidité, de désir, d'affection, d'appétence, de fièvre, de Soif envers la Conscience, et que cette Conscience change, le chagrin, les lamentations, les douleurs, les déplaisances mentales et la détresse n'apparaissent pas. Voici donc le bienfait que notre enseignant a vu et à cause duquel il prône l'élimination du désir avide envers la Forme, prône l'élimination du désir avide envers le Ressenti, prône l'élimination du désir avide envers la Perception, prône l'élimination du désir avide envers les Constructions, et prône l'élimination du désir avide envers la Conscience.” |
“akusale cāvuso, dhamme upasampajja viharato diṭṭhe ceva dhamme sukho vihāro abhavissa avighāto anupāyāso apariḷāho, kāyassa ca bhedā paraṃ maraṇā sugati pāṭikaṅkhā, nayidaṃ bhagavā akusalānaṃ dhammānaṃ pahānaṃ vaṇṇeyya. yasmā ca kho, āvuso, akusale dhamme upasampajja viharato diṭṭhe ceva dhamme dukkho vihāro savighāto saupāyāso sapariḷāho, kāyassa ca bhedā paraṃ maraṇā duggati pāṭikaṅkhā, tasmā bhagavā akusalānaṃ dhammānaṃ pahānaṃ vaṇṇeti. | Mes amis, si celui qui entre et demeure dans les états désavantageux était heureux dans le monde visible, sans contrariété, sans détresse, sans fièvre, et que lors de la dissolution du corps, après la mort, il pouvait s'attendre à une bonne destination, alors le Fortuné ne recommanderait pas l'abandon des états désavantageux. Mais c'est parce que celui qui entre et demeure dans les états désavantageux est malheureux dans le monde visible, contrarié, en détresse, fiévreux, et que lors de la dissolution du corps, après la mort, il peut s'attendre à une mauvaise destination, que le Fortuné recommande l'abandon des états désavantageux. |
“kusale cāvuso, dhamme upasampajja viharato diṭṭhe ceva dhamme dukkho vihāro abhavissa savighāto saupāyāso sapariḷāho, kāyassa ca bhedā paraṃ maraṇā duggati pāṭikaṅkhā, nayidaṃ bhagavā kusalānaṃ dhammānaṃ upasampadaṃ vaṇṇeyya. yasmā ca kho, āvuso, kusale dhamme upasampajja viharato diṭṭhe ceva dhamme sukho vihāro avighāto anupāyāso apariḷāho, kāyassa ca bhedā paraṃ maraṇā sugati pāṭikaṅkhā, tasmā bhagavā kusalānaṃ dhammānaṃ upasampadaṃ vaṇṇetī”ti. | Mes amis, si celui qui entre et demeure dans les états avantageux était malheureux dans le monde visible, contrarié, en détresse, fiévreux, et que lors de la dissolution du corps, après la mort, il pouvait s'attendre à une mauvaise destination, alors le Fortuné ne recommanderait pas l'acquisition des états avantageux. Mais c'est parce que celui qui entre et demeure dans les états avantageux est heureux dans le monde visible, sans contrariété, sans détresse, sans fièvre, et que lors de la dissolution du corps, après la mort, il peut s'attendre à une bonne destination, que le Fortuné recommande l'acquisition des états avantageux.» |
idamavocāyasmā sāriputto. attamanā te bhikkhū āyasmato sāriputtassa bhāsitaṃ abhinandunti. | Voici ce que dit le vénérable Saripoutta. Ravis, ces mendiants apprécièrent ses paroles. |
———oOo——— Publié comme un don du Dhamma, pour être distribué librement, à des fins non lucratives. --- Le traducteur n'est pas un expert en Pali, et afin d'éviter toute erreur se réfère à des traductions déjà existantes; il espère néanmoins que les erreurs qui peuvent se glisser dans la traduction ne sont que minimes. Ce travail est sous une License Internationale Creative Commons 4.0 avec Attribution, Usage non-commercial et Partage sous mêmes conditions. |