Yo, bhikkhave, cakkhu·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso. Yo sota·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso. Yo ghāna·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso. Yo jivhā·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso. Yo kāya·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso. Yo mano·samphassajāya vedanāya chanda·rāgo, cittasseso upakkileso.

Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact oculaire, mendiants, sont une souillure de l'esprit. Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact auditif sont une souillure de l'esprit. Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact olfactif sont une souillure de l'esprit. Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact gustatif sont une souillure de l'esprit. Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact dans le corps sont une souillure de l'esprit. Le désir avide envers les ressentis engendrés par le contact mental sont une souillure de l'esprit.

Yato kho, bhikkhave, bhikkhuno imesu chasu ṭhānesu cetaso upakkileso pahīno hoti, nekkhamma·ninnañcassa cittaṃ hoti. Nekkhamma·paribhāvitaṃ cittaṃ kammaniyaṃ khāyati, abhiññā sacchikaraṇīyesu dhammesū ti.

Lorsque, mendiants, un mendiant a abandonné les souillures de l'esprit dans ces six cas, l'esprit s'incline au renoncement. Un esprit rempli de renoncement devient utilisable pour atteindre les phénomènes à être réalisés par connaissance directe.