SN 35.246
Vīṇopama Sutta
— L'allégorie du vina —
[ vīṇa: luth, vina | opamma: allégorie, comparaison ]

Le Bouddha explique comment se motiver pour la restreinte des sens, puis offre l'analogie du bœuf pour comprendre comment elle fonctionne, et enfin l'intéressante allégorie du vina.




Pāḷi



Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā cakkhuviññeyyesu rūpesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti. tato cittaṃ nivāraye cakkhuviññeyyehi rūpehi.

Français



Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux formes connaissables par l'œil, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux formes connaissables par l'œil.

Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā sotaviññeyyesu saddesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti, tato cittaṃ nivāraye sotaviññeyyehi saddehi.

Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux sons connaissables par l'oreille, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux sons connaissables par l'oreille.

Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā ghānaviññeyyesu gandhesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti, tato cittaṃ nivāraye ghānaviññeyyehi gandhehi.

Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux odeurs connaissables par le nez, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux odeurs connaissables par le nez.

Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā jivhāviññeyyesu rasesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti, tato cittaṃ nivāraye jivhāviññeyyehi rasehi.

Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux saveurs connaissables par la langue, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux odeurs connaissables par la langue.

Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā kāyaviññeyyesu phoṭṭhabbesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti, tato cittaṃ nivāraye kāyaviññeyyehi phoṭṭhabbehi.

Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux sensations corporelles connaissables par le corps, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux sensations corporelles connaissables par le corps.

Yassa kassaci, bhikkhave, bhikkhussa vā bhikkhuniyā vā manoviññeyyesu dhammesu uppajjeyya chando vā rāgo vā doso vā moho vā paṭighaṃ vāpi cetaso, tato cittaṃ nivāreyya: ‘Sabhayo ceso maggo sappaṭibhayo ca sakaṇṭako ca sagahano ca ummaggo ca kummaggo ca duhitiko ca; asappurisasevito ceso maggo, na ceso maggo sappurisehi sevito; na tvaṃ etaṃ arahasī’ti, tato cittaṃ nivāraye manoviññeyyehi dhammehi.

Mendiants, si chez un mendiant ou une mendiante apparaît un désir, une avidité, une aversion ou une délusion par rapport aux phénomènes mentaux connaissables par le mental, alors il devrait contenir son esprit [en se disant:] “Cette voie est effrayante, dangereuse, épineuse, [ardu comme une progression dans] la jungle, une voie déviante, une mauvaise voie, [menant à] la pénurie; cette voie est suivie par les mauvaises personnes, elle n'est pas suivie par les hommes de bien; pour toi, ce n'est pas approprié”. Ainsi, l'esprit devrait être contenu par rapport aux phénomènes mentaux connaissables par le mental.

Seyyathāpi, bhikkhave, kiṭṭhaṃ sampannaṃ, kiṭṭhārakkho ca pamatto, goṇo ca kiṭṭhādo aduṃ kiṭṭhaṃ otaritvā yāvadatthaṃ madaṃ āpajjeyya pamādaṃ āpajjeyya; evameva kho, bhikkhave, assutavā puthujjano chasu phassāyatanesu asaṃvutakārī pañcasu kāmaguṇesu yāvadatthaṃ madaṃ āpajjati pamādaṃ āpajjati.

Supposez, mendiants, qu'il y ait un champ de maïs mûr dont le gardien serait négligent. Un bœuf amateur de maïs, étant descendu dans le champ, se laisserait aller et s'en donnerait à cœur joie, autant qu'il voudrait. De la même manière, mendiants, un individu ordinaire sans instruction qui n'est pas restreint par rapport aux six sphères de contact se laisse aller aux cinq agréments de la sensualité, il s'en donne à cœur joie, autant qu'il veut.

Seyyathāpi, bhikkhave, kiṭṭhaṃ sampannaṃ kiṭṭhārakkho ca appamatto goṇo ca kiṭṭhādo aduṃ kiṭṭhaṃ otareyya. tamenaṃ kiṭṭhārakkho nāsāyaṃ suggahitaṃ gaṇheyya; nāsāyaṃ suggahitaṃ gahetvā uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggaṇheyya; uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggahetvā daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷeyya; daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷetvā osajjeyya.

Supposez, mendiants, qu'il y ait un champ de maïs mûr dont le gardien serait assidu. Un bœuf amateur de maïs descendrait dans le champ. Le gardien du champ le saisirait fermement par le museau, et l'ayant saisi fermement par le museau, il le saisirait fermement en haut de la tête, puis l'ayant saisi fermement en haut de la tête, il lui administrerait un solide coup de bâton. Lui ayant administré un solide coup de bâton, il le laisserait partir.

Dutiyampi kho, bhikkhave, goṇo ca kiṭṭhādo aduṃ kiṭṭhaṃ otareyya, tamenaṃ kiṭṭhārakkho nāsāyaṃ suggahitaṃ gaṇheyya; nāsāyaṃ suggahitaṃ gahetvā uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggaṇheyya; uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggahetvā daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷeyya; daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷetvā osajjeyya.

Une deuxième fois, mendiants, le bœuf amateur de maïs descendrait dans le champ. Le gardien du champ le saisirait fermement par le museau, et l'ayant saisi fermement par le museau, il le saisirait fermement en haut de la tête, puis l'ayant saisi fermement en haut de la tête, il lui administrerait un solide coup de bâton. Lui ayant administré un solide coup de bâton, il le laisserait partir.

Tatiyampi kho, bhikkhave, goṇo ca kiṭṭhādo aduṃ kiṭṭhaṃ otareyya, tamenaṃ kiṭṭhārakkho nāsāyaṃ suggahitaṃ gaṇheyya; nāsāyaṃ suggahitaṃ gahetvā uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggaṇheyya; uparighaṭāyaṃ suniggahitaṃ niggahetvā daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷeyya; daṇḍena sutāḷitaṃ tāḷetvā osajjeyya.

Une troisième fois, mendiants, le bœuf amateur de maïs descendrait dans le champ. Le gardien du champ le saisirait fermement par le museau, et l'ayant saisi fermement par le museau, il le saisirait fermement en haut de la tête, puis l'ayant saisi fermement en haut de la tête, il lui administrerait un solide coup de bâton. Lui ayant administré un solide coup de bâton, il le laisserait partir.

Evañhi so, bhikkhave, goṇo kiṭṭhādo gāmagato vā araññagato vā, ṭhānabahulo vā assa nisajjabahulo vā na taṃ kiṭṭhaṃ puna otareyya, tameva purimaṃ daṇḍasamphassaṃ samanussaranto.

Ainsi, mendiants, le bœuf amateur de maïs, qu'il se soit rendu au village ou en forêt, qu'il se tienne longtemps debout ou qu'il se tienne longtemps assis, ne descendrait plus dans ce champ, se rappelant le contact du bâton [qu'il aurait subi] auparavant.

Evameva kho, bhikkhave, yato kho bhikkhuno chasu phassāyatanesu cittaṃ udujitaṃ hoti sudujitaṃ, ajjhattameva santiṭṭhati, sannisīdati, ekodi hoti, samādhiyati.

De la même manière, lorsque l'esprit d'un mendiant a été tempéré, bien tempéré, par rapport aux six sphères de contact, il se pose intérieurement, s'assoit, s'unifie et se concentre.

Seyyathāpi, bhikkhave, rañño vā rājamahāmattassa vā vīṇāya saddo assutapubbo assa. So vīṇāsaddaṃ suṇeyya. So evaṃ vadeyya: ‘ambho, kassa nu kho eso saddo evaṃ-rajanīyo evaṃ-kamanīyo evaṃ-madanīyo evaṃ-mucchanīyo evaṃ-bandhanīyo’ti? Tamenaṃ evaṃ vadeyyuṃ: ‘esā kho, bhante, vīṇā nāma, yassā eso saddo evaṃ-rajanīyo evaṃ-kamanīyo evaṃ-madanīyo evaṃ-mucchanīyo evaṃ-bandhanīyo’ti. So evaṃ vadeyya: ‘gacchatha me, bho, taṃ vīṇaṃ āharathā’ti.

Supposez, mendiants, qu'un roi ou son premier ministre n'ait jamais auparavant entendu le son d'un vina.{2} Il entendrait alors le son d'un vina. Il dirait: “Mon bon, quel est donc ce son qui suscite autant l'avidité, qui est si désirable, si enivrant, qui suscite tellement d'engouement, et qui est si attachant?” On lui répondrait: Bhanté, c'est du vina que vient ce son qui suscite autant l'avidité, qui est si désirable, si enivrant, qui suscite tellement d'engouement, et qui est si attachant.” Il dirait alors: “Va, apporte-moi ce vina.”

Tassa taṃ vīṇaṃ āhareyyuṃ. Tamenaṃ evaṃ vadeyyuṃ: ‘ayaṃ kho sā, bhante vīṇā yassā eso saddo evaṃ-rajanīyo evaṃ-kamanīyo evaṃ-madanīyo evaṃ-mucchanīyo evaṃ-bandhanīyo’ti. So evaṃ vadeyya: ‘alaṃ me, bho, tāya vīṇāya, tameva me saddaṃ āharathā’ti. Tamenaṃ evaṃ vadeyyuṃ: ‘ayaṃkho, bhante vīṇā nāma anekasambhārā mahāsambhārā, anekehi sambhārehi samāraddhā vadati, seyyathidaṃ doṇiñca paṭicca cammañca paṭicca daṇḍañca paṭicca upadhāraṇe ca paṭicca tantiyo ca paṭicca koṇañca paṭicca purisassa ca tajjaṃ vāyāmaṃ paṭicca. Evāyaṃ, bhante vīṇā nāma anekasambhārā mahāsambhārā anekehi sambhārehi samāraddhā vadatī’ti.

On lui apporterait donc le vina et on lui dirait: “Voici, Bhanté, ce vina dont le son suscite autant l'avidité, qui est si désirable, si enivrant, qui suscite tellement d'engouement, et qui est si attachant.” Alors il lui répondrait: “Assez avec ce vina. Apporte-moi le son.” On lui dirait: Bhanté, ce vina est constitué de nombreux composants, d'un certain nombre de composants, et c'est grâce à ces nombreux composants qu'il donne un son, c'est-à-dire sur la base de la caisse, du cadre, du manche, de la tête, des cordes, du plectre et sur la base de l'effort approprié d'un homme. Ainsi, Bhanté, ce vina est constitué de nombreux composants, d'un certain nombre de composants, et c'est grâce à ces nombreux composants qu'il donne un son.”

So taṃ vīṇaṃ dasadhā vā satadhā vā phāleyya; dasadhā vā satadhā vā taṃ phāletvā sakalikaṃ sakalikaṃ kareyya; sakalikaṃ sakalikaṃ karitvā agginā ḍaheyya; agginā ḍahitvā masiṃ kareyya; masiṃ karitvā mahāvāte vā ophuneyya, nadiyā vā sīghasotāya pavāheyya. So evaṃ vadeyya: ‘asatī kirāyaṃ, bho, vīṇā nāma, yathevaṃ yaṃ kiñci vīṇā nāma; ettha ca panāyaṃ jano ativelaṃ pamatto palaḷito’ti.

Alors il briserait ce vina en dix ou cent pièces; l'ayant brisé en dix ou cent pièces, il le réduirait en morceaux; l'ayant réduit en morceaux, il le brûlerait dans un feu; l'ayant brûlé dans le feu, il le réduirait en cendres; l'ayant réduit en cendres, il le disperserait dans un vent puissant, ou bien il le jetterait dans un torrent. Il dirait alors: “Assurément, c'est une pauvre chose, que cette chose [particulière] appelée vina, ainsi que tout ce qu'on appelle un vina. Et pendant trop longtemps les gens ont été négligents et se sont fourvoyés{3} à cause de telles choses.”

Evameva kho, bhikkhave, bhikkhu rūpaṃ samanvesati yāvatā rūpassa gati; vedanaṃ samanvesati yāvatā vedanāya gati; saññaṃ samanvesati yāvatā saññāya gati; saṅkhāre samanvesati yāvatā saṅkhārānaṃ gati; viññāṇaṃ samanvesati yāvatā viññāṇassa gati. Tassa rūpaṃ samanvesato yāvatā rūpassa gati, vedanaṃ samanvesato yāvatā vedanāya gati, saññaṃ samanvesato yāvatā saññāya gati, saṅkhāre samanvesato yāvatā saṅkhārassa gati, viññāṇaṃ samanvesato yāvatā viññāṇassa gati, yampissa taṃ hoti ‘aha’nti vā ‘mama’nti vā ‘asmī’ti vā tampi tassa na hotī ti.

De la même manière, un mendiant investigue la Forme, aussi loin que va la Forme; il investigue le Ressenti, aussi loin que va le Ressenti; il investigue la Perception, aussi loin que va la Perception; il investigue les Constructions, aussi loin que vont les Constructions; il investigue la Conscience, aussi loin que va la Conscience. Investiguant la Forme, aussi loin que va la Forme, investiguant le Ressenti aussi loin que va le Ressenti, investiguant la Perception aussi loin que va la Perception, investiguant les Constructions aussi loin que vont les Constructions, investiguant la Conscience aussi loin que va la Conscience, il ne se dit ni “Je”, ni “Mien”, ni “[Je] suis”.





Bodhi leaf


Traduction proposée par Rémy.

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Publié comme un don du Dhamma,
pour être distribué librement, à des fins non lucratives.
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Le traducteur n'est pas un expert en Pali, et afin d'éviter toute erreur se réfère à des traductions déjà existantes; il espère néanmoins que les erreurs qui peuvent se glisser dans la traduction ne sont que minimes.


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